D'abord, je l'ai vue chez Félicie à Paris et j'en suis de suite tombée amoureuse.
Et pourquoi pas moi ?
Du coup, je n'ai pas pu résister, ni une ni deux, je l'ai commandée chez Deer and Doe.
Deux jours après, dans ma boîte aux lettres, j'avais le joli patron et son livret d'explications.
Je l'ai regardé, tourné, retourné...
Quelle jolie petite chose !
La pochette était fermée par un bout d'adhésif. D'un coup, j'ai eu le sentiment qu'il avait été apposé à la main... spécialement pour moi... et je l'ai délicatement enlevé pour ne rien abîmer.
Sitôt reçu, sitôt décalqué ! Moi non plus, je n'ai pas osé découper le patron.
Et sitôt décalqué, sitôt découpé, épinglé et taillé.
Quel empressement, à croire que je n'avais plus rien à me mettre sur le dos !
Une seule petite folie à la fois :
pour ma première robe sureau (oui, je le savais déjà, il y en aura d'autres), je décidais de prendre un tissu de mes réserves. Justement, il me restait un bon coupon de coton dans lequel j'avais confectionné ma jupe so 60'.
Et la voici finie !
Sur la pochette-patron,
un tableau de mesures permet de bien choisir sa taille.
Après m'être toisée dans tout les sens, j'ai fini par opter pour un 38 (alors que je prends un 36 en prêt-à-porter).
La robe s'avère un brin grande, ce qui, tout compte fait, est préférable pour une version automne-hiver. J'ai déjà hâte de trouver un beau tissu pour le printemps-été prochain.
D'ailleurs, j'envisage d'en faire une pour les quatre saisons, les mi-saison, les quart-de-saison...
Avec un livret d'explications détaillées et dessinées étapes par étapes, le modèle, simple et efficace, laisse tout de même le champ libre à l'imagination.
Pour ma part, j'ai ajouté un passepoil autour de la bande de boutonnage factice.
Je rêve déjà d'une version très rétro avec dentelles et jupon.
Bravo et Merci beaucoup à la jeune créatrice de nous régaler avec de tels modèles.
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